Les libraires en parlent :
“L’auteur, passionné et partageur, nous dresse un délicieux et simplement documenté bilan œuvresque, amical, musical, une galerie de disques, de morceaux, de face B, de moments, de portraits, de rencontres, de discordes résolues, ou pas, de choses qui mises bout à bout sont une passion à partager. En musique, ou non, maquillé, ou non, en noir ou en couleurs.”
Blog Flaneuse de pages, Librairie Les Vinzelles (Volvic)
Revue de presse
“C’est manifeste que le catalogue consacré aux ouvrages musicaux aux éditions Le mot et le reste est d’une richesse inouïe, de fait des collaborateurs qui signent des ouvrages de référence. Comme c’est le cas avec les deux derniers opus de la maison. Le premier de Philippe Gonin est consacré à The Cure. (...) Comme pour les autres ouvrages chez l’éditeur, le mandat est de passer en revue et faire l’analyse de la production discographie et ce qui l’entoure. En fin de lecture, il nous donne le goût de l’écoute. Pari réussi, nos platines tournent déjà.”
“Cet ouvrage de Philippe Gonin donne l’occasion de se replonger dans la discographie du groupe. Il y a de vrais joyaux, l’album Seventeen Seconds est par exemple un vrai chef d’œuvre, dans la lignée de la trilogie berlinoise de Bowie. Dans la période de succès du groupe, Disintegration et Wish sont de vrais petits bijoux (ah ces parties de guitares sur From The Edge of The Deep Green Sea !). Smith s’avère un songrwiter hors pair, autant à l’aise dans la pop (Close to me, Let’s go to bed) que dans des morceaux plus sombres. The Cure ouvrage donne des clefs pour comprendre une œuvre qui intrigue encore…”
“En 1978 qui aurait mis une pièce sur The Cure quand leur premier 45 tours sort, mettant en avant un titre que tout le monde croit provocateur parce qu’il s’appelle « Killing an Arab » ? Qui pouvait songer en pleine période d’after punk qu’un post-ado anglais nommé Robert Smith s’intéressait à Albert Camus et son livre L’Étranger ?”
TRÈS VITE, on rentre dans le vif du sujet: l’audition organisée par le label Hansa, en mai 1977, d’un jeune groupe nommé Easy Cure. Malgré un enthousiasme modéré des deux parties, elle débouche sur un contrat, et la bande de Robert Smith débute sa carrière ascensionnelle. Et un parcours discographique minutieusement détaillé par Philippe Gonin, déjà auteur de plusieurs ouvrages sur Pink Floyd et Magma. À partir de Three lmaginary Boys (1979). il contextualise les conditions d’enregistrement et analyse chaque morceau, ainsi que la réception critique et l’évolution d’une formation articulée autour de l’aura dévorante de son chanteur. Il rappelle notamment comment “ln Between Days” a changé la donne: “Le son, manifestement taillé pour /es radios FM, ne peut qu’aider à une diffusion sur /es ondes, l’évidence d’une mélodie (celle jouée au synthé avec un son de cordes) et les “without you” suffisant à créer une accroche auditive dans tous les pays du monde”. Formule
magique qui fonctionne encore aujourd’hui !
Spéciale The Cure avec Philippe Gonin, auteur d’un livre sur The Cure aux Éditions Le Mot et le Reste. The Cure, c’est d’abord l’histoire d’un groupe gravitant autour de Robert Smith, de ses naissances et renaissances, de cette galaxie d’hommes et de femmes, de querelles et d’amitiés retrouvées. Une histoire forcément subjective mais documentée que Philippe Gonin retrace sur près d’un demi-siècle. Il s’intéresse par la suite à cette étrange alchimie qu’est la création. Il explore, au cœur des influences et des modèles, les connexions qui forgent l’identité propre, unique, indépassable de The Cure, celle-là même qui inspire aujourd’hui d’autres artistes. Finalement c’est sur l’œuvre que l’auteur se concentre : les disques qui, année après année, depuis plus de 45 ans, font de lui un groupe désormais incontournable.
“The Cure, c’est d’abord l’histoire d’un groupe gravitant autour de Robert Smith, de ses naissances et renaissances, de cette galaxie d’hommes et de femmes, de querelles et d’amitiés retrouvées. Une histoire forcément subjective mais documentée que Philippe Gonin retrace sur près d’un demi-siècle.”
L’intégralité de la chronique à lire ici