Les libraires en parlent :
” Il y a des rencontres qui marquent une vie. Celle avec le fleuve. Celle avec un écrivain qui ne s’en jamais éloigné. Gwenaëlle Abolivier nous livre son regard sur la Loire et ceux qui la fréquentent mais aussi sur Louis Poirier et son alter égo Julien Gracq. Son récit est passionnant et empreint de poésie. On y apprend beaucoup et l’on s’imagine de jolies balades ligériennes en leur compagnie.”
Sébastien, librairie L’Heriau (Angers)
“Coup de coeur. Par bonheur il existe encore une place pour la lenteur, la discrétion et l’indicible.”
Olivier, librairie des Cordeliers (Romans)
Revue de presse
“Gwenaëlle Abolivier, directrice artistique et littéraire, autrice associée à la Maison Julien-Gracq, vient de publier un livre hommage à la Loire et ceux qui la chérissent, La forme du fleuve.”
“Une déambulation fluviale intrinsèque, olympienne. Bien au-delà, une partition cruciale pour un voyage au bord de la Loire armoricaine.
Gwenaëlle Abolivier après « Tu m’avais dit Ouessant » (Prix Marine Bravo Zulu 2020),et « Marche en plein ciel », « La forme du fleuve » est un livre qui échappe à tous les genres. Tant il est personnel, intime et dans un même tempo, son ouverture est spéculative. Il offre le voyage, l’esprit et le plein. C’est une transmutation empreinte de littérature, de senteurs et de regards.
En résidence d’écriture dans la maison de Julien Gracq « alias Louis Poirier », l’écriture devient complice, l’union et l’ultime. L’invitation au bovarysme mais en fusion avec le décorum, sans amertume ni rêverie. Ici, c’est la plénitude d’un lieu de vie qui octroie le passage de l’écluse. Les pages inestimables, d’eau et de mouvement. « La forme du fleuve », une force qui propulse, tel le levier.
« C’est de la puissance de l’eau et du vent que naissent les îles de la Loire. Habitées ou esseulées, elles sculptent la forme du fleuve autant qu’il les façonne… Comme Joseph Conrad, je suis plus alliée par la géographie et les mappemondes que par la géométrie et les calculs trigonométriques ».”
L’intégralité de la chronique ici
“La narratrice a choisi de cheminer le long de la Loire, d’Angers à Nantes. Tout au long de son périple, elle recueille les témoignages de ceux qui habitent et font vivre le grand fleuve, s’inquiète des changements climatiques et rend hommage à Louis Poirier, alias Julien Gracq dont la maison est située en milieu de parcours.”
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“La canne de Gracq. La journaliste, bourlingueuse et productrice de radio Gwenaëlle Abolivier possède toute la légitimité voulue pour écrire, non point tant sur Julien Gracq, que dans les pas, sur les traces de l’écrivain. Depuis un an, elle est la nouvelle directrice artistique de la maison, devenue résidence d’écrivains, où il a habité toute sa vie jusqu’à sa disparition en 2007, à Saint-Florent-le-Vieil, commune de Mauges-sur-Loire. Une région qui vit, respire, voyage au rythme du fleuve. Ici, « nul n’est censé ignorer la Loire ».”
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