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Simon Parcot répond à quelques questions
Les coups de cœur des libraires :
« Quel envoûtement ! Simon Parcot nous offre ici une sorte de conte poétique, mystérieux et inspirant. [...] Une mise en récit fascinante de la langue des siffleurs d’Aas, qui rend hommage aux beautés de la montagne autant qu’à sa rudesse. »
Célia, librairie Le Failler (Rennes)
« Une prose poétique pour un conte puissant et exceptionnel sur fond de secret, de silence et de vengeance, une douce plongée dans un monde merveilleux. »
Max, Librairie Vaux livres (Vaux-le-Pénil)
« C’est une magnifique surprise, ce texte est d’une grande beauté et singularité, j’ai adoré. C’est un conte pastoral, écologiste et initiatique, mâtiné de romans d’aventures et de western qui ouvre grand la porte sur l’imaginaire pur. L’univers et l’ambiance, la langue, sont impressionnants. »
Sarah Gastel, libraire volante
« Puissante ode à la nature, ce récit pastoral et initiatique a la force d’un grand mythe. [...] Avec une plume splendide, l’auteur rend compte de la nature grandiose. »
Anne-Laure, Ici Librairie (Paris, 2è)
« C’est un très beau texte, à la fois doux et viscéral, écrit avec une grande poésie, aussi réussi dans la forme que sur le fonds. Tous les personnages sont intéressants (même l’âne et les aigles!) et ça a vraiment été une belle découverte. »
Yvain, Au temps lire (Lambersart)
« Un roman des alpages empreint de réalisme magique : héritages, secrets et petite communauté à l’écart du monde. À couper le souffle. »
Manon, Lilosimages (Angoulême)
« Après Le Bord du monde est vertical, Simon Parcot revient avec un texte tout aussi fort et poétique. Dans une écriture qui rend toute la poésie et la majesté de la nature, Simon Parcot nous embarque dans cette aventure merveilleuse aux côtés de nos quatre personnages, tous complexes et puissants dans leur fragilité. À lire de toute urgence pour s’échapper loin. »
Agathe, Librairie Gutenberg (Strasbourg)
“Un roman magnifique, à la poésie apaisante, sur l’univers des bergers siffleurs qui célèbre la beauté de la nature et condamne la bêtise des hommes. [...] Inspirant, vibrant, vivant !”
_ Les cocottes rousses, (Saint-Symphorien-d’Ozon)_
« Conte initiatique, philosophique dans une langue lumineuse, profonde. On ne peut s’empêcher de lire des passages à voix haute comme pour lutter contre le mutisme de Gayané, et avec l’espoir de lever le poids des silences. Ce roman est un énorme coup de cœur. »
Séverine, Librairie Volte pages (Olivet)
« Livre sur les dégâts des secrets, les ravages de la vengeance et les bienfaits de la tolérance. Écriture poétique, la nature prend toute sa place, dans sa rudesse, sa beauté, ses bienfaits… Un beau livre qui ne laisse pas indifférent ! »
Pia, Librairie La Procure (Lyon)
« Une folle ascension au cours de laquelle Gayané apprendra la vérité sur ces ancêtres et le mal qui l’empêche de parler. Entre conte initiatique et poésie, Simon Parcot donne vie à la montagne, aux éléments, et à ses personnages. Le chant des bergers siffleurs prend soudain corps et c’est à regret et sur la pointe des pieds que l’on ne peut que s’extraire de ce monde merveilleux, une fois la dernière page tournée. »
Amélie, Librairie Polinoise (Poligny)
« L’histoire que Gayané porte en elle fait écho aux histoires des peuples isolés voués à disparaitre. Gayané appartient à un peuple qui a disparu à cause de la violence et de la bêtise de ses ancêtres. Elle va devoir affronter la solitude et apprendre à utiliser le don de son peuple dans ces grandes montagnes sauvages. Dans les paysages grandioses des hautes montagnes, Simon Parcot a la plume d’un grand conteur. C’est une lecture lumineuse et profonde. »
Amélie, La promesse de l’aube (Autun)
« Entre roman d’aventure pastoral et conte initiatique, Simon nous embarque sur les pentes de la Montagne Lumineuse à la recherche des origines de Gayané pour découvrir les us et coutumes d’un peuple siffleur. Splendide et poétique lecture ! »
Géraldine, Librairie Vents de terre (Les Rousses)
« Une quête initiatique enveloppée de mythes, ode à la beauté sauvage et pastorale d’une montagne qui façonne les existences et fait du langage un espace mystérieux de résistance et de liberté. Minéral et poétique, sculpté dans un creuset de brumes et de braises, de silences et de lumières qui jaillissent, qui fait du vivant un grand tout relié de lianes imaginaires, Le Chant des pentes possède la beauté fragile et rugueuse de ces textes que l’on colporte comme des murmures qui éclairent la fureur des hommes et du monde. »
Mathieu, Decitre (Grenoble)
« Oui, j’ai lu et entendu les « siffleurs » de la vallée. Roman ô combien passionnant, et qui alterne avec les bruits de notre environnement actuel. »
Jean-Marc, Librairie des Aravis (Thônes)
« Quel récit encore que ce roman pastoral, puissant et lumineux. Librement inspiré des bergers siffleurs d’Aas dans les Pyrénées, il rappelle le poids des mots et la lourdeur des silences. Comment chaque secret, chaque malheur enfoui reste enseveli, accroché en fond de gorge ? Comment la parole retrouvée marquée par la métaphore et la magie permet d’accéder à la révélation du Grand Mystère, celui qui permet à chacun, chacune, à une communauté entière de s’élever. La montagne est présente partout ! C’est un livre où l’on ressort grandi, les yeux brillants et le cœur léger. »
Caroline, Librairie café Escapade(s) (Crest)
« Une pépite incontestable qui ne comblera pas que les disciples des hauteurs. »
Librairie La madeleine (Lyon)
« Un roman pastoral puissant, initiatique et solaire, où se déploie l’univers animiste d’une communauté librement inspirée des bergers siffleurs d’Aas dans les Pyrénées. »
Gabriel, Librairie Vivement Dimanche (Lyon)
« Gros coup de cœur pour ce roman à la fois lyrique et poétique sur les bergers siffleurs des montagnes. Gayané trouvera-t-elle sa voix (et sa voie) en les cherchant ? Magnifique et solaire ! »
Céline, Librairie Mots et images (Guingamp)
« Ce livre est un enchantement de poésie. Mais il appelle également à réfléchir sur soi, sur la vie, c’est d’ailleurs un hymne à la vie ! »
Anne-Marie Poultier, Association La 25ème heure du livre (Le Mans)
« Récit pastoral, l’auteur s’inspire des bergers siffleurs de la vallée d’Aas au coeur des Pyrénées pour créer ce roman paisible où les communautés animistes nous reconnectent à la nature. Un roman qui parle, qui nous parle et nous donne un nouveau souffle. »
Librairie les Nouveautés (Paris 10è)
« Ce conte initiatique est écrit dans une langue poétique, envoûtante, d’une grande fluidité. Un vrai plaisir de lecture ! »
Coup de cœur de Lucie, Librairie Prado Paradis (Marseille)
Coup de cœur de Benoît et Faustine, Librairie La Géothèque (Nantes)
Coup de cœur de Corinne, Librairie Le domaine des murmures (Champagnole)
Coup de cœur de Gabriel, Librairie Vivement Dimanche (Lyon)
Coup de cœur de Pierre, La Procure étincelles (Annecy)
Coup de cœur de Frédéric, Le vrai lieu (Gradignan)
Revue de presse
“Après Le bord du monde est vertical, Simon Parcot revient avec un magnifique texte : le chant des pentes. Que peut bien cacher le mutisme croissant de cette nouvelle génération d’un paisible village montagnard ? (...) Qualifiée de « fable ouverte et généreuse » par Valentine Goby, le chant des pentes nous entraine dans la montagne, aux côtés de bergers et de leur langage sacré : la langue sifflée. Quel roman mélodieux que celui-ci, la langue sifflée résonnant sur les bords de la montagne lumineuse, animant le récit au même titre qu’un protagoniste. Un roman pastoral c’est certain mais avec toute la poésie, et la contemplation propre à l’auteur.
A l’instar de son premier roman, une quête initiatique où Gayané va faire face à ses origines et sa propre histoire. Un véritable coup de coeur avec toujours, la montagne, mystérieuse et omniprésente qui guide nos pas sur les sentiers.”
“Sous couvert d’un récit de voyage en montagne, Simon Parcot nous offre un conte initiatique, philosophique et poétique. Sur les pas de la jeune Gayané et de ses compagnons de route, elle va trouver la clé de son mutisme et le chemin vers la liberté. (...) Après Le bord du monde est vertical, Simon Parcot nous offre un conte philosophique toujours ancré dans la montagne, toujours servi par une écriture riche de poésie et de sensualité. Cet appel à dépasser la peur de l’étranger, à s’ouvrir aux autres cultures et à refuser les mensonges sur lesquels certains entendent construire un futur résonne beaucoup dans un monde incertain. Alors oui, il faut avoir le courage de dépasser la peur et tracer de nouveaux sillons. Car, « si on ne soigne pas les plaies, elles gonflent en silence, si on retient les larmes, elles finissent par former un puits, si on étouffe les cris, ils ressortent sous la forme de flammes de dragon ! Si on ne reconnaît pas les morts, ils reviennent hurler dans les rêves ! Enfin, si on empêche une langue de se dire, on coupe la parole à nos enfants ! Alors malheur, malheur à ceux qui nient ! ». ”
“Je n’aime pas les superlatifs mais je peux vous assurer que je ressors, ébloui, émerveillé, de cette lecture. Connaissez-vous Simon Parcot qui se présente comme un « philosophe de sentiers » ? Si tel n’est pas le cas, je vous engage à le découvrir. On peut définir, « Le chant des pentes » comme un conte pastoral éco-poétique. La nature y est décrite dans toute sa splendeur, magnifiée par la joliesse des phrases de l’auteur, un peu à la Giono. Parfois, aussi, elle inquiète car c’est également une beauté brute, sauvage. On se laisse envelopper par la ouate des mots, on plane tels les vautours sur les pentes de la Montagne Lumineuse.”
“Avec « Le chant des pentes », Simon Parcot nous livre une nouvelle fable poétique et philosophique. «Dans un petit village montagnard, la jeune Gayané souffre de mutisme comme la plupart des enfants. A la suite d’un rêve, elle décide de prendre la route en direction de l’alpage du Grand Lac que les villageois croient hanté par les siffleurs, êtres mi-humains, mi-vautours». Nous voici dans l’univers de Simon Parcot, «philosophe des sentiers» et écrivain qui vit lui-même perché dans une vallée reculée, déjà croisé au Grand Bivouac d’Albertville où on le retrouvera cette année.”
“Simon Parcot est l’auteur d’un premier roman remarqué Le bord du monde est vertical. Il y lançait ses personnages dans une quête alpinistique impossible. Il est également l’auteur de Carnet de guides, où il souhaitait rendre hommage à la montagne « qui lie et délie les êtres, ainsi qu’à ces hommes et ces femmes aux mains calleuses qui gagnent leur vie à essayer de ne pas la perdre. » Dans son nouveau roman, Le chant des pentes, l’auteur nous embarque dans un paisible village de montagne pour rencontrer Gayané, jeune fille souffrant de mutisme. Après un rêve déroutant, elle décide de s’évader à l’aide de ses compagnons. Ainsi, Gayané entreprend « une ascension initiatique à travers la Forêt et l’Alpage pour atteindre la Montagne Lumineuse. » Mais voilà qu’un secret lui est révélé et qu’elle devra construire la suite en connaissance de cause.”
Avec Le Chant des pentes, Simon Parcot nous livre une nouvelle fable poétique et philosophique.
”Tout entier ici:“https://www.liberation.fr/forums/il-ma-dit-daller-siffler-la-haut-sur-la-montagne-20240926_BTEOSFRBKBCJJGMOQPPF7BBQGA/
Ce lundi 9 septembre, les auteurs rhônalpins publiant un livre durant la rentrée littéraire étaient conviés par l’Arall (Auvergne-Rhône-Alpes – Livre et lecture) à la Comédie Odéon, afin de le présenter. Comme chaque année, nous avons recueilli quelques mots des seize écrivains invités. Un florilège en forme d’invitation à la lecture.
L’écrivain marcheur signe un récit onirique sur la quête d’une jeune fille privée de voix, son chemin singulier pour briser les tabous de tout un village.
”« Les histoires ne viennent pas de nulle part, mais des terres où elles ont été conçues », explique Simon Parcot, qui a façonné son roman au coeur du massif des Écrins. Il se décrit comme un poète de sentiers (quand il n’écrit pas des romans, il organise des randos philo) et cette approche nourrit son écriture : une langue dense et fluide où la montagne joue le premier rôle. Son récit pastoral pioche dans les codes de la mythologie, de la tragédie antique, de la poésie en prose… mais aussi des langues sifflées qu’utilisent les bergers pour communiquer lorsqu’ils ne peuvent pas parler.
Démarche d’orfèvre : une transcription graphique de la langue sifflée des bergers et bergères du roman été spécialement imaginée pour vous accompagner dans la lecture du Chant des pentes. On vous le garantit, vous vous prendrez à siffler en même temps que les personnages à la lecture des pages !”
“Simon Parcot, écrivain et philosophe de sentiers, réside et puise son inspiration dans le massif des Écrins. C’est là qu’il a écrit son premier roman, Le Bord du monde est vertical (Le Mot et le reste, 2022), qui a été lauréat et finaliste de nombreux prix.
En 2023, il publie Carnet de Guides (Glénat), un documentaire graphique et littéraire explorant le métier de guide de haute montagne. Le Chant des pentes est son second roman, continuant de captiver les lecteurs avec ses récits imprégnés de la majesté des montagnes.”
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