Revue de presse
“Arnaud Devillard a fait un travail incroyable en décortiquant chaque disque du groupe, en analysant et en détaillant chaque titre. Chaque page de cet ouvrage est riche en informations et plonge aussi le lecteur dans une liberté d’insouciance et de légèreté qu’étaient les années 80 en révélant un nombre incroyable de petits événements qui ont mené au succès du groupe. Si vous êtes un fan du groupe et que vous avez peut-être déjà écouté tous leurs albums et assisté à l’un de leur concert, alors ce livre est fait pour vous aux éditions « le mot et le reste ».”
“Et maintenant, un petit tour du côté du rock classique avec Dire Straits – L’Amérique fantasmée (Le Mot et le Reste). Il s’agit certes d’une réédition, mais il est utile d’en parler car il s’agit du seul livre en français au sujet de ce groupe britannique dont la musique rêvait des grands espaces américains (de là le titre). Un livre qui retrace la carrière du groupe ainsi que de toute sa flopée de hits.”
Chronique à lire sur le site de la RTBF
Arnaud Devillard raconte la grande histoire des Dire Straits, l’un des groupes de pop rock les plus créatifs et les surprenants de la périodes des 80’s et des 90’s.
Créé à l’été 1977 à Deptford en Angleterre, Dire Straits s’est d’abord illustré avec l’album « Sultans of Swing » qui deviendra aussi l’hymne du groupe, un poignée de chanson composé par le guitariste Mark Knopfler, comme l’un des pionnier du renouveau la scène country rock influencée par J.J. Cale et B.Dylan. Puis le groupe a explosé avec les succès mondiaux de ces quatre albums culte:
« Communiqué »(1979), « Making Movies »(1980) « Love over Gold »(1982 ) et « Brothers in Arms »(1985). Il a ainsi totalisé plus de 120 millions d’albums vendus.
Après le départ du guitariste David Knopfler (frère de Mark) en 1982, les nombreux changements survenus dans la composition et la ligne musicale du groupe n’ont jamais empêché l’esprit de Dire Straits de rester intact. Il est remarquable que cette entité musicale ait même survécu au départ de son fondateurs en 1995. Car au fil du temps, Dire Straits s’en est retrouvé plus fort plus grand et continu aujourd’hui encore de faire rêver. Il faut voir l’hystérie du public lorsque Mark Knopfler lors de ses concerts solo, reprend un ou deux standards de son groupe fétiche. D’où vient le nom Dire Straits ? Comment le groupe a t il pu faire rêver des millions d’adolescents en 1977, en pleine frénésie punk ? Comment Mark Knopfler s’est il retrouver à produire le groupe Aztec Camera ? Où et comment est né le tube Money For Nothing ? Ces questions trouvent ici leurs réponses.
Le journaliste Arnaud Devillard ouvre la boite de pandore et livre l’essentiel de l’épopée Dire Straits, mêle de ses souvenirs personnels notamment le concert à la Halle Tony Garnier de Lyon en 1992. Il passe en revu les triomphes mais aussi les désastres de cette longue et extraordinaire épopée humaine. On y découvre les secrets de l’enregistrement des albums, la genèse des chansons, les amitiés avec des musiciens comme Eric Clapton, Chet Atkins. Un ouvrage précis qui reprend année après année tous les événements qui ont marqué la vie professionnelle du mythe Dire Straits. Un nouvel éclairage qui ravira les collectionneurs et puristes du genre.
Retrouvez cet article sur le site de Toute La Culture
Avec un sous-titre : « L’Amérique fantasmée » et quatre pochettes de disque en illustration de couverture. Je n’ai pas trouvé de nom de collection pour ces livres qui traitent d’un groupe, d’un chanteur ou d’un genre musical mais je peux vous dire qu’ils sont des cadeaux parfaits – si vous connaissez les goûts musicaux de celui et celle qui invitent. Ce sont des ouvrages qui ne sont pas faits pour les lecteurs passionnés de la presse spécialisée rock, ils s’adressent simplement aux amateurs éclairés ou qui doivent l’être. Et ils compilent intelligemment petite histoire et lecture critique de l’œuvre.
On supposera que le nom de Marc Knopfler ne vous est pas inconnu. Vous avez sans aucun doute entendu au moins un des morceaux qu’il a composé. Mais savez-vous qu’il a commencé à quinze ans avec une guitare électrique qui se devait d’être rouge et qui n’avait pas son amplificateur (trop cher). Et bien sûr il en tire une certaine conclusion « Ce avec quoi vous jouez conditionne ce que vous jouez. » Bien sûr Marc Knopfler a ses modèles, ses idoles Duane Eddy, B.B. King, Albert King, Elmore James, Chet Atkins ( il est normal que vous ne les connaissiez pas tous, n’ayez crainte ! A vos moteurs de recherche !) ou Hank Marvin (oui l’auteur du morceau célèbre des Shadow : Nivram ). Et Marc Knopfler qui a bien écouté les chansons de Dylan (qu’il produira) sait que l’on peut écrire des chansons intelligentes et les chanter sans avoir nécessairement un grand talent vocal. Il compose donc paroles et musique…
Vous voulez en savoir plus ? C’est compréhensible. Lisez donc ce petit livre et pourquoi pas en écoutant en boucle vos vinyles et autres CD du groupe. Une façon agréable d’adoucir le passage des ans.
Lire l’article sur le site Daily Rock
À bien des égards, Dire Straits incarne la dérive too much du groupe de blues-rock à succès pendant les années 80. Les orchestrations chargées à coup de synthétiseurs, les solos interminables, les set-lista sans surprises, calibrées et rejouées jusqu’au dégoût… Mais là n’est pas la question. Bien avant les records de ventes et la tournée des stades, Arnaud Devillard raconte l’ascension de Mark Knopfler («l’homme tranquille du rock’n’roll»), jeune guitariste britannique totalement inconnu avant le« Sultans of Swing» de 1975… toujours aussi normal et détaché de sa notoriété de virtuose, 4 décennies plus tard.
Retrouvez l’article dans l’édition en ligne du magazine Clutch
EN IMAGES – L’année 2015 a été riche en ouvrages historiques, autobiographies et bandes dessinées consacrées au monde du rock. Sélection non-exhaustive pour faire plaisir aux amateurs.
À Noël 2015, il devrait être assez facile de satisfaire les amateurs de musique, et notamment, de musique pop-rock. Cette année, de nombreux ouvrages, écrits, photographiques ou graphiques consacrés à cette culture ont été publiés.
[…]
Indie pop 1979–1997 de Jean-Marie Pottier, aux éditions Le mot et le reste, décortique un autre courant du rock : l’indie pop. La sortie d’Unknown Pleasures, premier album de Joy Division, en 1979, en a été le point de départ. Plus qu’un style musical, l’indice pop symbolise aussi un rapport “intègre” à l’industrie musicale, rejetant le côté marchand et marketing. Jean-Marie Pottier (rédacteur en chef de Slate.fr) en retrace les plus belles années, de 1979 à 1997.
[…]
Le journaliste Arnaud Devillard a quant à lui préféré se concentrer sur le groupe Dire Straits, dans l’ouvrage Dire Straits, l’Amérique fantasmée, publié aux éditions Le mot et le reste. Il revient sur le parcours de l’un des groupes les plus cultes des années 80, qui a signé les tubes “Money For Nothing” ou “Walk Of Life”.
[…]
2015 a également été riche en autobiographies rock. Celle dont on a le plus parlé est Kim Gordon, Girl In A Band, de l’ancienne membre de Sonic Youth. Dans ce livre parfois amère et sans concession, Kim Gordon raconte son parcours en tant que musicienne, chanteuse et artiste, sa place en tant que femme dans l’industrie du rock, et l’évolution du New York “underground” des années 80 et 90. Elle relate également son divorce houleux avec Thurston Moore, chanteur de Sonic Youth et son compagnon pendant 27 ans. La version française de Kim Gordon, Girl In A Band, est publiée aux éditions Le mot et le reste.
Retrouver la sélection sur le site de RTL2