EXTRAIT
S’il n’y a pas de musique du monde “en soi”, mais variant selon le regard, le lieu, et la conception politique qu’on s’en fait, alors il devient intéressant de questionner les pratiques des publics, et de nous situer en quelque sorte d’un point de vue “duchampien” : si c’est le regardeur qui fait le tableau (Marcel Duchamp), c’est son public qui ferait la musique du monde.