Revue de presse
Question Rock’n’Folk, ce mensuel que vous nommez “la bible” : premier disque acheté ?
Jean-Yves Sécheresse : Ah, Holy Bible ! Quand j’étais gamin, il n’y avait pas d’argent de poche, ça n’existait pas en France. Aux États-Unis, ça commençait à pointer. J’ai toujours eu comme cadeau de Noël des disques. Je les commandais, mais ce n’est pas moi qui les achetais. Je me souviens avoir eu ainsi les premiers disques des Them, des Pretty Things, des trucs comme ça. Ce premier disque des Them m’avait marqué. Moody Blues aussi. Et avant, un duo nommé Jan & Dean, un peu la queue de comète du twist. J’aimais bien le rhythm’n’blues — j’aimais pas trop Chubby Checker, par contre. Le 45t n’était pas cher à l’époque. Pour ma petite bourse, ça l’était… J’économisais, comme mes copains. Quand j’étais à Paris, on se répartissait les achats lors de réunions au sommet : l’un achetait My Generation des Who, etc. Après, on se les passait.
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“Jean-Yves Sècheresse, auteur de Pop Music, un abécédaire politique
S’il se revendique éperdument “springsteenien”, Jean-Yves Sècheresse a un petit faible, dans la génération actuelle, pour la chanteuse Beyoncé, “pas inintéressante” en objet féministe sexualisé revendiqué qui “influence la pensée mainstream”. ”
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“Ancien adjoint à la sécurité de Gérard Collomb, Jean-Yves Sécheresse a également une autre passion : le rock. L’élu a profité d’être désormais dans l’opposition et d’avoir plus de temps pour associer musique et politique, dans un abécédaire axé principalement sur l’Angleterre et les États-Unis.”
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“Jean-Yves Sécheresse, conseilleur municipal d’opposition à Lyon, présente son ouvrage “Pop Music, un abécédaire politique”, quand le rock et la politique se mêlent.”
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