Revue de presse
“Avril 1970. L’impensable se produit : les Beatles annoncent leur séparation. Et comme un malheur n’arrive jamais seul, les Stones aussi. Arnaud Hudelot signe une uchro-nie rock qui voit les Fab Four se reformer. Drôle, érudit et nostalgique.”
À lire en ligne sur le site de DNA
“Dans The Beatles Are Back Again, une uchronie drôle et passionnante, Arnaud Hudelot imagine à quoi ressemblerait l’actualité musicale de la première moitié des seventies si les Beatles étaient restés dans la compétition. Ingénieur du son et réalisateur de documentaires pour la télévision, Hudelot n’en est pas à son coup d’essai. Dans un premier volet (The Beatles Are Back), cet enfant de la Beatlemania (il est né en 1964, l’année de la sortie d’A Hard Day’s Night) a démontré que tous les chemins, même les plus improbables, menaient à Rome.”
Chronique disponible sur le site de La Liberté
”The Beatles Are Back Again mélange joyeusement tout cela dans un capharnaüm qui va s’organiser dans un bordel sans nom sauf pour la plus grande joie des lecteurs. (...) Avec une maturité incroyable et une maîtrise parfaite l’auteur dresse ce qui aurait pu devenir une autre facette de l’histoire de la musique au cours des seventies poussée jusqu’à l’extrême. Un livre jouissif à tous niveaux.”
“C’était le rêve de millions de fans : ils se reforment, ils préparent un disque une tournée. Bien sûr, la rupture de 1969 fut définitive. Cela n’empêche pas l’auteur d’imaginer leur réconciliation et de remettre le couvert après l’excellent “The Beatles Are Back !”, “Tout est vrai sauf ce qui a été inventé”, prévient il.”
Article entier à lire dans le premier numéro de Janvier
“On va commencer par un livre sur les Beatles. Hé oui, il y en a déjà plein, mais celui-ci est différent car ce Beatles are Back Again (Le Mot et le Reste) mêle réalité et fiction pour raconter une supposée reformation des Fab Four ! On y croise Stevie Wonder, Charlie Watts, Kate Bush, Bill Graham, Chuck Berry, et on traverse des événements genre les bombes de l’IRA, le scandale du Watergate ou le waterbed de Keith Richards à Nellcote. Bref, c’est jouissif justement parce que tout n’est pas fantasmé, loin de là…”